Les réalisation d’Anne-Marie Rodic sont très épurées, graphiques et géométriques. D’un côté des variations formelles très stylisées jouant avec la silhouette de la cathédrale, cherchant à la saisir dans ce qu’elle présente d’absolument unique et distinctif. De l’autre, des compositions sont plus abstraites jouant sur les contrastes de couleurs pour évoquer la lumière des vitraux, dans des compositions puisant dans le répertoire formel offert par la cathédrale : sa silhouette, la flèche, la rosace…
Ces travaux, envisagés comme devant former un ensemble cohérent, sont réalisés à l’acrylique sur bois ou sur papier chiffon, avec quelques incrustations de sable et de pigments d’or et d’argent.